Music 

Music does something to strange to us. It elevates us. It transforms us from mere human-beings to a connected spirit. We aren’t merely individuals, separated by space and enclosed in our solitary forms, instead, we are one. We are a collective, and music flows through us all like the sea which washes over stones as the tide comes in, giving them back their colour and rejuvenising them. Music makes us appreciate each other, and all that we know and all that we have to offer. It’s the closest thing I can say that comes close to The Force, described in Star Wars to flow through all of us. When music plays, it’s as if I can feel the waves travelling through the air, cutting my problems in half, but smoothing over the jagged edges. Science gives way to the spirits that exist inside all of us. We can define rhythms and structures and melodies and choruses, but we can never define the most fundamental aspect to music: it’s spirit. It touches all of us in different ways, and whilst we can imagine that the composer knew what they were doing when they created the song, do they actually have any control over the music. When the notes are created and the lyrics are made, the song is its own. It moves freely, without hesitation and without mercy. It rips into us, opening up our scars, forcing us to relive our darkest memories, but then it speaks to us of a future – a future filled with hope, filled with optimism, filled with love. And love is what we’re all alive for isn’t it?

La musique fait quelque chose de bizarre en nous. Elle nous soulève. Elle nous transforme de simples formes humaines en un esprit collectif. Nous ne sommes pas simplement des individus, séparés par l’espace et enfermés dans notre forme solitaire. Au lieu de ça, nous sommes une unicité. Nous sommes un collectif, et la musique coule à travers nous comme des embruns de la mer au-dessus des cailloux lorsque la marée monte, en les redonnant leurs couleurs, et en les rajeunissant. La musique nous fait apprécier l’un et l’autre, et tout ce qu’on sait et tout ce qu’on peut offrir. C’est la chose la plus proche, je dirais, de La Force, décrite dans La Guerre des Étoiles, de couler à travers nous tous. Quand la musique joue, c’est comme si je pouvais sentir les vagues traverser l’air, couper mes problèmes en deux, mais lisser des bords irréguliers. La science doit donner sa place aux esprits qui existent en chacun de nous, en nous tous. On peut donner des définitions aux rythmes et aux structures et aux mélodies et aux refrains mais on ne peut jamais donner de définition à l’aspect le plus fondamental de la musique : son esprit. Ça touche tout le monde de manières différentes et tandis qu’on aime imaginer que le/la compositeur/trice savait ce qu’il/elle faisait au moment de la création de la chanson, au fond, est-ce qu’il/elle a vraiment la contrôle de la musique ? Quand des notes sont créées et des paroles prononcées, la chanson appartient à elle-même. La musique bouge sans restriction, sans hésitation, sans pitié. Elle nous taille en pièces, elle ouvre nos cicatrices, en nous forçant à revivre nos plus sombres mémoires, mais ensuite, elle nous parle d’un futur – Un futur rempli d’espoir, rempli d’optimisme, rempli d’amour. Et l’amour, c’est pourquoi nous vivons, n’est-ce pas ?